Généreuse, mouillante et fière : la femme fontaine ronde, fantasme XXL

Femmes fontaines rondes : fantasmes XXL et plaisir en cascade

Éjaculation féminine, plaisir décuplé, corps généreux et sexualité assumée : l’article vous plonge dans l’univers sensuel et décomplexé des femmes fontaines rondes. Loin des clichés, il explore le phénomène du squirting chez les femmes pulpeuses à travers des explications, des conseils pratiques, une mise au point sur les fantasmes et surtout de vibrants témoignages. L’article se clôture par une interview sans filtre de Monique, une cougar assumée qui mouille les draps et les esprits.

Introduction : Mouiller les draps et les idées reçues

Elles sont rondes, elles sont torrides, et certaines d’entre elles font jaillir le plaisir. Les femmes fontaines rondes bouleversent les normes sexuelles et mouillent aussi bien les matelas que les fantasmes les plus secrets. Loin d’être un mythe ou un phénomène réservé aux corps filiformes du porno, l’éjaculation féminine peut être vécue pleinement, puissamment et librement par toutes, y compris par les femmes aux formes voluptueuses.

« Je suis une femme taille 48, et quand je jouis, c’est Niagara dans mon lit. Mon copain adore ça, il me dit qu’il se sent inondé d’amour et de foutre. »
Lucie, 29 ans

Comprendre le phénomène fontaine chez les femmes rondes

Éjaculer, c’est jouir autrement

Être une femme fontaine, ce n’est pas juste « faire pipi en jouissant », comme certains le pensent encore. C’est l’expression d’un orgasme viscéral, intense, souvent déclenché par la stimulation du point G et accompagné d’un jaillissement de liquide par l’urètre. Ce liquide n’est pas de l’urine, mais un fluide issu des glandes de Skene, parfois appelé « prostate féminine ».

Chez les femmes rondes, la sensation de plénitude interne, couplée à une meilleure conscience de leur bassin, peut parfois faciliter ce phénomène.

« Avec mon ventre et mes hanches, je sens mon bassin vibrer comme un tambour. Quand ça vient, je ne retiens rien. C’est sauvage, c’est magique. »
Aïcha, 41 ans

Le plaisir est-il forcément lié à l’éjaculation ?

Pas nécessairement. L’éjaculation féminine peut survenir sans orgasme, et inversement. Mais chez certaines femmes, le fait d’éjaculer provoque une sensation d’abandon et de relâchement total qui intensifie le plaisir.

C’est ce qu’on appelle le lâcher-prise orgasmique, un état où le corps ne résiste plus, et où l’énergie sexuelle déborde — au sens littéral — des frontières habituelles.

Tableau comparatif : Femme fontaine ronde vs clichés pornos

Critère Femme fontaine ronde réelle Fantasme porno
Apparence Corps voluptueux, naturel Corps mince, souvent refait
Intensité de l’éjaculation Variable, parfois massive Spectaculaire, presque irréaliste
Réactions du partenaire Émerveillement, surprise, fierté Jouissance exagérée, scriptée
Nature du liquide Fluide aqueux des glandes Skene Liquide non défini, mal expliqué
Position pour y arriver Allongée, sur le dos ou en levrette En missionnaire ou cowgirl exagérée

Idées reçues : Grosse, donc pas sexy ? Fontaine, donc sale ?

Certaines femmes rondes n’osent pas explorer le squirting par peur d’être jugées. Elles pensent que leur corps est trop lourd, que leurs cuisses gênent l’accès, ou que l’éjaculation est une « déviance sale ».

Rien n’est plus faux.

La sexualité généreuse des femmes rondes est un terrain fertile pour les jeux de stimulation interne. Le poids peut même devenir un avantage dans certaines positions, en amplifiant les sensations et les ondes de plaisir.

« Je pensais que je n’étais pas faite pour ça. Puis un jour, mon amant m’a léché le point G avec ses doigts… Résultat : explosion ! Et depuis, je mouille presque à chaque fois. »
Sophie, 35 ans

Quand on fait l’amour à une femme fontaine — surtout une femme ronde — il faut anticiper, respecter, exciter et absorber. Littéralement. Ce jaillissement ne doit pas être vu comme une fuite ou un débordement incontrôlé, mais comme une célébration de la jouissance.

L’homme (ou la femme) doit :

  • Poser une alèse ou une serviette, mais jamais un jugement.

  • Accueillir le liquide comme une offrande.

  • Continuer même après l’éjaculation, car certaines femmes peuvent enchaîner plusieurs vagues de plaisir.

 

Le lien entre fantasmes et éjaculation

Certains fantasmes — être dominée, être exhibée, être honorée par son partenaire — déclenchent plus facilement le lâcher-prise fontaine. Les femmes rondes qui s’assument sexuellement peuvent alors se reconnecter à leur corps avec une intensité nouvelle.

« Le jour où j’ai mouillé son torse entier, il m’a regardée comme une déesse. J’ai compris que j’avais un pouvoir entre les cuisses. »
Carla, 38 ans

 

Comment devenir une femme fontaine quand on est ronde

Il ne s’agit pas de poids, mais de posture mentale, stimulation et respiration.

S’offrir des sextoys courbés pour le point G, demander à son partenaire de faire un mouvement de va-et-vient appuyé sur la paroi antérieure, respirer profondément, s’hydrater, et surtout… ne pas se retenir.

Il est aussi recommandé de se renseigner sur des plateformes fiables comme Le Journal des Femmes – Sexualité, qui aborde la sexualité féminine sans tabou.

Témoignages sur le vif

« Je suis une femme ronde, et mon plaisir ne coule pas… il déborde. »
Jade, 36 ans, Bordeaux
« Je ne savais même pas que je pouvais être une femme fontaine. J’ai toujours été très lubrifiée naturellement, mais un jour, pendant une pénétration lente, avec un homme très attentif, quelque chose d’incontrôlable s’est passé. Il m’a prise en cuillère, sa main glissait sur mon ventre, ses doigts touchaient mon clitoris pendant qu’il me pénétrait lentement. J’ai senti une chaleur monter dans mon bassin, comme si mon sexe devenait liquide. Et d’un coup, c’est sorti, avec un bruit humide, un jaillissement qui m’a surprise autant que lui. J’ai eu honte. Je me suis redressée, paniquée. Mais il m’a regardée, le visage trempé, les yeux brillants. Il m’a embrassée longuement et m’a dit : ‘Je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi beau’. Depuis ce jour, il me supplie de le faire à chaque fois. Il dit que c’est ma façon de lui dire que je jouis vraiment. Moi, je dis que c’est ma façon de l’inonder d’amour. »

« Je suis grosse, sensuelle et fontaine. Et je mouille comme une déesse antique. »
Émilie, 29 ans, Avignon
« J’ai toujours aimé faire l’amour en position levrette ou à quatre pattes, parce que mon ventre me gêne moins et que mes fesses généreuses prennent toute leur puissance. Ce jour-là, il m’a plaquée contre le lit, m’a écarté les cuisses sans ménagement, et il a commencé à me doigter pendant qu’il léchait mon clitoris. Je me suis mise à trembler, à crier, et là… une énorme vague m’a traversée. J’ai éjaculé si fort qu’on a dû changer les draps. Littéralement. Mon partenaire, un mec un peu brut mais terriblement excité par mon corps, s’est couché sur la flaque, a léché mes fesses encore mouillées, et m’a dit : ‘C’est la preuve que tu vibres de tout ton corps’. C’est là que j’ai compris que mon plaisir ne devait jamais être retenu. Il aime me voir exploser, et moi, j’adore le voir mouillé par moi. »

« Quand je mouille, il me prend dans ses bras comme si j’étais son trophée vivant. »
Sabrina, 42 ans, Liège
« J’ai rencontré un homme plus jeune sur un site de rencontres. Il m’a tout de suite dit qu’il aimait les femmes rondes, assumées, qui savent ce qu’elles veulent. Moi, je voulais juste du sexe sans retenue. Lors de notre première nuit, il m’a pénétrée avec une douceur presque religieuse. Il a cherché mon point G avec patience. Il a pris mon bassin entre ses mains, m’a regardée droit dans les yeux, et je me suis sentie vulnérable… puis libre. J’ai senti le liquide monter. C’était chaud, c’était puissant, c’était… vivant. J’ai joui comme jamais. Un jet épais, chaud, a éclaboussé son pubis, ses cuisses. Et il s’est mis à rire doucement, puis à m’embrasser partout. Il m’a dit que je lui donnais la sensation d’être un dieu, parce que je ‘répands mon plaisir sur lui’. Depuis, il dort sans drap. Il dit qu’il préfère les flaques à la sécheresse. »

« J’ai joui sur son torse, il a gémi comme si je l’avais envoûté. »
Mélissa, 34 ans, Paris
« Il m’a fait grimper sur lui, nue, tremblante, après une longue séance de sexe oral. J’étais déjà au bord de l’explosion. Mon clitoris battait comme un cœur, et mes hanches ondulaient toutes seules. Il m’a prise dans ses bras, m’a soufflé à l’oreille de me lâcher complètement. Alors j’ai frotté mon sexe sur le sien, juste à l’entrée, en mouvements lents et amples. Je sentais le feu monter. D’un coup, comme une vague de chaleur, j’ai jailli. Un jet large, épais, a jailli de mon sexe et l’a éclaboussé au niveau du ventre. Il a poussé un gémissement rauque, m’a regardée comme une créature magique, et il a murmuré : ‘Putain, c’est ton âme qui vient de sortir de toi’. Il a léché le liquide sur sa peau, il en a mis sur mes seins… On n’a pas couché ensemble ce soir-là. On a joui sans pénétration. Et c’était divin. »

« Il m’a appelée sa tempête. Et j’ai compris que mon corps n’avait jamais été aussi libre. »
Nathalie, 39 ans, Marseille
« Avec mon poids, j’ai longtemps évité certaines positions. J’avais peur qu’il ne me voie comme une bête, ou qu’il se sente écrasé. Mais cet homme-là m’a fait grimper sur lui. Il a pris mon ventre à deux mains, l’a embrassé, puis m’a guidée sur son sexe avec une douceur démente. Une fois qu’il était en moi, je me suis balancée lentement, en cercle. Mon bassin roulait comme une mer profonde. Il m’a demandé de ne pas me retenir. Et quand j’ai senti le liquide monter, j’ai crié. Ça a giclé sur son bas-ventre, sur ses testicules, sur les draps. C’était chaud, visqueux, salé, doux. Il a pris ma tête entre ses mains, m’a embrassée et m’a dit : ‘Tu es ma tempête’. Ce soir-là, j’ai compris que mes formes n’étaient pas un frein. Elles étaient la source de ma puissance. Je suis une femme ronde. Je suis une fontaine. Et j’en suis fière. »